Ne me console pas
Jan 05, 2023
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙤𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨.
𝙇𝙖𝙞𝙨𝙨𝙚-𝙢𝙤𝙞 𝙥𝙡𝙚𝙪𝙧𝙚𝙧 𝙩𝙤𝙪𝙩 𝙢𝙤𝙣 𝙨𝙤û𝙡.
𝙇𝙖𝙞𝙨𝙨𝙚-𝙢𝙤𝙞 𝙝𝙪𝙧𝙡𝙚𝙧, 𝙜é𝙢𝙞𝙧, 𝙢𝙚 𝙩𝙖𝙞𝙧𝙚, 𝙙𝙤𝙧𝙢𝙞𝙧, 𝙢𝙚 𝙡𝙚𝙫𝙚𝙧 𝙖𝙪 𝙢𝙞𝙡𝙞𝙚𝙪 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙣𝙪𝙞𝙩, 𝙧𝙞𝙧𝙚, 𝙩𝙤𝙪𝙩 𝙩𝙚 𝙧𝙖𝙘𝙤𝙣𝙩𝙚𝙧 𝙚𝙣𝙘𝙤𝙧𝙚 𝙚𝙩 𝙚𝙣𝙘𝙤𝙧𝙚, 𝙢𝙚 𝙡𝙖𝙢𝙚𝙣𝙩𝙚𝙧, 𝙧𝙚𝙣𝙙𝙧𝙚 𝙜𝙧â𝙘𝙚, 𝙩𝙚 𝙧𝙖𝙘𝙘𝙧𝙤𝙘𝙝𝙚𝙧 𝙖𝙪 𝙣𝙚𝙯, 𝙩'𝙖𝙥𝙥𝙚𝙡𝙚𝙧 à 𝟱𝙝 𝙙𝙪 𝙢𝙖𝙩, 𝙗𝙧𝙤𝙮𝙚𝙧 𝙙𝙪 𝙣𝙤𝙞𝙧, 𝙚𝙣 𝙫𝙤𝙪𝙡𝙤𝙞𝙧 à 𝙡𝙖 𝙏𝙚𝙧𝙧𝙚 𝙚𝙣𝙩𝙞è𝙧𝙚, 𝙙𝙞𝙫𝙖𝙜𝙪𝙚𝙧, 𝙙é𝙡𝙞𝙧𝙚𝙧, 𝙣𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙮 𝙘𝙧𝙤𝙞𝙧𝙚, 𝙫𝙤𝙪𝙡𝙤𝙞𝙧 𝙧𝙚𝙢𝙗𝙤𝙗𝙞𝙣𝙚𝙧 𝙡𝙚 𝙛𝙞𝙡𝙢.
𝙇𝙖𝙞𝙨𝙨𝙚-𝙢𝙤𝙞 𝙧𝙚𝙨𝙨𝙚𝙣𝙩𝙞𝙧 𝙡𝙖 𝙙𝙤𝙪𝙡𝙚𝙪𝙧.
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙥𝙖𝙧𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙙𝙚 𝙙é𝙩𝙖𝙘𝙝𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩.
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙥𝙖𝙧𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙙𝙚 𝙥𝙖𝙞𝙭, 𝙙𝙚 𝙟𝙤𝙞𝙚, 𝙙𝙚 𝙙𝙤𝙪𝙘𝙚𝙪𝙧.
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙥𝙖𝙧𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙙𝙚 𝙩𝙧𝙖𝙜é𝙙𝙞𝙚.
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙙𝙞𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙈𝙖 𝙥𝙖𝙪𝙫𝙧𝙚.
𝙁𝙚𝙧𝙢𝙚-𝙡𝙖.
É𝙘𝙤𝙪𝙩𝙚-𝙢𝙤𝙞.
𝙀𝙣𝙩𝙚𝙣𝙙𝙨 𝙢𝙚𝙨 𝙝𝙪𝙧𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨.
𝙎𝙪𝙥𝙥𝙤𝙧𝙩𝙚 𝙢𝙚𝙨 𝙘𝙧𝙞𝙨, 𝙢𝙚𝙨 𝙨𝙞𝙡𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨, 𝙢𝙚𝙨 𝙨𝙖𝙣𝙜𝙡𝙤𝙩𝙨, 𝙢𝙤𝙣 𝙞𝙧𝙤𝙣𝙞𝙚 𝙖𝙘𝙚𝙧𝙗𝙚, 𝙢𝙤𝙣 𝙝𝙪𝙢𝙤𝙪𝙧 𝙙é𝙘𝙖𝙥𝙖𝙣𝙩, 𝙢𝙤𝙣 𝙯é𝙧𝙤 𝙘𝙤𝙣𝙘𝙚𝙨𝙨𝙞𝙤𝙣, 𝙢𝙚𝙨 𝙞𝙣𝙘𝙤𝙝é𝙧𝙚𝙣𝙘𝙚𝙨.
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙤𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨.
𝙍𝙚𝙢𝙗𝙖𝙡𝙡𝙚 𝙩𝙚𝙨 𝙢𝙤𝙪𝙘𝙝𝙤𝙞𝙧𝙨 à 𝙡'𝙚𝙖𝙪 𝙙𝙚 𝙧𝙤𝙨𝙚𝙨.
𝙄𝙡𝙨 𝙣𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙞𝙚𝙣𝙙𝙧𝙖𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙡'𝙤𝙘é𝙖𝙣 𝙦𝙪𝙞 𝙘𝙤𝙪𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙢𝙤𝙣 𝙘𝙤𝙧𝙥𝙨.
𝙉𝙚 𝙩'𝙖𝙥𝙞𝙩𝙤𝙮𝙚 𝙥𝙖𝙨.
𝙉𝙚 𝙥𝙧𝙚𝙣𝙙𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙪𝙣 𝙖𝙞𝙧 𝙙é𝙨𝙚𝙨𝙥é𝙧é, 𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙞𝙩, 𝙙é𝙨𝙤𝙡é.
𝙎𝙞 𝙩𝙪 𝙣𝙚 𝙨𝙖𝙞𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙦𝙪𝙤𝙞 𝙙𝙞𝙧𝙚, 𝙩𝙖𝙞𝙨-𝙩𝙤𝙞.
𝙉𝙚 𝙩𝙚 𝙢𝙚𝙩𝙨 𝙥𝙖𝙨 à 𝙢𝙖 𝙥𝙡𝙖𝙘𝙚, 𝙩𝙪 𝙣'𝙮 𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙨.
𝙉𝙚 𝙩𝙚 𝙧𝙚𝙩𝙞𝙚𝙣𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙙𝙚 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚, 𝙙𝙚 𝙧𝙞𝙧𝙚, 𝙙'ê𝙩𝙧𝙚 𝙩𝙤𝙞.
𝙉𝙚 𝙢'𝙚𝙢𝙥ê𝙘𝙝𝙚 𝙥𝙖𝙨 𝙙'𝙚𝙭𝙥𝙧𝙞𝙢𝙚𝙧 𝙢𝙖 𝙘𝙤𝙡è𝙧𝙚, 𝙢𝙖 𝙩𝙧𝙞𝙨𝙩𝙚𝙨𝙨𝙚, 𝙢𝙚𝙨 𝙧𝙚𝙜𝙧𝙚𝙩𝙨, 𝙢𝙚𝙨 𝙧𝙚𝙢𝙤𝙧𝙙𝙨, 𝙢𝙖 𝙨𝙤𝙪𝙛𝙛𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚.
𝘼𝙘𝙘𝙚𝙥𝙩𝙚 𝙙'ê𝙩𝙧𝙚 𝙙é𝙧𝙖𝙣𝙜é𝙚, 𝙤𝙪 𝙗𝙖𝙧𝙧𝙚-𝙩𝙤𝙞 𝙨𝙞 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙩𝙧𝙤𝙥 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙩𝙤𝙞.
𝙅𝙚 𝙢𝙚 𝙛𝙤𝙪𝙨 𝙦𝙪𝙚 𝙩𝙪 𝙨𝙤𝙞𝙨 𝙢𝙖𝙡𝙖𝙙𝙧𝙤𝙞𝙩𝙚, 𝙢𝙖𝙡 à 𝙡'𝙖𝙞𝙨𝙚, 𝙢𝙖𝙡𝙝𝙚𝙪𝙧𝙚𝙪𝙨𝙚.
𝙉𝙚 𝙘𝙝𝙚𝙧𝙘𝙝𝙚 𝙥𝙖𝙨 à 𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙟'𝙖𝙞𝙡𝙡𝙚 𝙢𝙞𝙚𝙪𝙭.
𝙇𝙖𝙞𝙨𝙨𝙚-𝙢𝙤𝙞 ê𝙩𝙧𝙚 𝙤ù 𝙟'𝙚𝙣 𝙨𝙪𝙞𝙨 𝙚𝙩 𝙩𝙧𝙖𝙫𝙚𝙧𝙨𝙚𝙧 𝙡𝙖 𝙩𝙚𝙢𝙥ê𝙩𝙚 𝙦𝙪𝙚 𝙟𝙚 𝙫𝙞𝙨.
𝙉𝙚 𝙘𝙝𝙚𝙧𝙘𝙝𝙚 𝙧𝙞𝙚𝙣.
𝙉𝙚 𝙛𝙖𝙞𝙨 𝙧𝙞𝙚𝙣.
𝙏𝙪 𝙣𝙚 𝙥𝙚𝙪𝙭 𝙧𝙞𝙚𝙣 𝙛𝙖𝙞𝙧𝙚 𝙥𝙤𝙪𝙧 𝙢𝙤𝙞.
𝙎𝙤𝙞𝙨-𝙩𝙤𝙞.
𝙏𝙤𝙞-𝙢ê𝙢𝙚.
𝙀𝙩 𝙨𝙞 𝙩𝙪 𝙩'é𝙡𝙤𝙞𝙜𝙣𝙚𝙨 𝙟𝙚 𝙣𝙚 𝙩'𝙚𝙣 𝙫𝙤𝙪𝙙𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙥𝙖𝙨.
𝙀𝙩 𝙨𝙞 𝙟𝙚 𝙢'𝙞𝙨𝙤𝙡𝙚 𝙣𝙚 𝙢'𝙚𝙣 𝙫𝙚𝙪𝙭 𝙥𝙖𝙨.
𝙋𝙚𝙪𝙩-ê𝙩𝙧𝙚 𝙟𝙚 𝙢𝙚 𝙣𝙤𝙞𝙚𝙧𝙖𝙞𝙨 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙩𝙚𝙢𝙥ê𝙩𝙚, 𝙥𝙚𝙪𝙩-ê𝙩𝙧𝙚 𝙚𝙣 𝙨𝙤𝙧𝙩𝙞𝙧𝙖𝙞𝙨-𝙟𝙚 𝙡𝙖 𝙩ê𝙩𝙚 𝙝𝙖𝙪𝙩𝙚, 𝙧𝙞𝙣𝙘é𝙚, 𝙡𝙖𝙫é𝙚, 𝙚𝙢𝙥𝙡𝙞𝙚 𝙙'𝙪𝙣𝙚 𝙛𝙤𝙧𝙘𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙫𝙚𝙡𝙡𝙚.
𝙉'𝙖𝙩𝙩𝙚𝙣𝙙𝙨 𝙧𝙞𝙚𝙣 𝙙𝙚 𝙢𝙤𝙞.
𝙅𝙚 𝙣'𝙖𝙩𝙩𝙚𝙣𝙙𝙨 𝙧𝙞𝙚𝙣 𝙙𝙚 𝙩𝙤𝙞.
𝙎𝙤𝙞𝙨 𝙨𝙞𝙢𝙥𝙡𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙩𝙤𝙞.
𝙑𝙪𝙡𝙣é𝙧𝙖𝙗𝙡𝙚.
𝘿é𝙢𝙪𝙣𝙞𝙚.
𝘼𝙫𝙚𝙘 𝙩𝙤𝙣 𝙘œ𝙪𝙧 𝙚𝙩 𝙩𝙤𝙣 𝙖𝙢𝙤𝙪𝙧.
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙤𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨.
𝙋𝙧𝙚𝙣𝙙𝙨-𝙢𝙤𝙞 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙩𝙚𝙨 𝙗𝙧𝙖𝙨 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙣𝙚 𝙢'𝙤𝙥𝙥𝙧𝙚𝙨𝙨𝙚 𝙥𝙖𝙨.
𝙇𝙖𝙞𝙨𝙨𝙚-𝙢𝙤𝙞 𝙨𝙚𝙪𝙡𝙚 𝙨𝙞 𝙟𝙚 𝙩𝙚 𝙡𝙚 𝙙𝙚𝙢𝙖𝙣𝙙𝙚.
𝙑𝙞𝙚𝙣𝙨 𝙦𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙟𝙚 𝙩'𝙖𝙥𝙥𝙚𝙡𝙡𝙚.
𝙑𝙖 𝙩'𝙚𝙣 𝙦𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙩𝙪 𝙫𝙚𝙪𝙭.
𝘼𝙘𝙘𝙪𝙚𝙞𝙡𝙡𝙚-𝙢𝙤𝙞 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙢𝙤𝙣 𝙙é𝙨𝙖𝙧𝙧𝙤𝙞 𝙚𝙩 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙢𝙖 𝙟𝙤𝙞𝙚.
𝙉𝙚 𝙢𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙤𝙡𝙚 𝙥𝙖𝙨.
𝘼𝙞𝙢𝙚-𝙢𝙤𝙞 𝙙𝙚 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙫𝙚𝙞𝙡𝙡𝙖𝙣𝙘𝙚.
Hier une femme me demandait quand, comment parler de mon livre à une amie dont le fils vient de mourir.
Juste après je découvrais par le "hasard" de mon fil d'actualité, une femme extraordinaire, dont les trois jeunes enfants sont morts la veille de Noël.
Alors ce texte m'est venu.
Brut, cru.
Jailli du milieu de la tourmente.
Car la consolation véritable n'est pas là pour étouffer la douleur de l'autre, mais pour l'accueillir.
Les bases de la communication empathique.
Cette communication peut s'adresser à soi-même.
Ne pas céder à l'injonction d'arrêter de pleurer.
Ne pas fuir la souffrance pour positiver.
Ne pas dramatiser à outrance.
Vivre l'intensité que nous avons à vivre, pour pouvoir la transcender.
J'ai développé ce thème en vidéo (Lumière du jour 80).
Avec amour et bienveillance,
Janick
Ton Éclabousseuse de Vie
Canal de Lumière
Mentore -Healer = Fée-sorcière-magicienne-guérisseuse
Come on ! avec moi et l'Envolé
⌘ transcende les intensités
⌘ renaîs à ta puissance
⌘ explore de nouveaux espaces de lumière et de conscience
Parce que ta vie c'est tous les jours.
Parce ton voyage d'évolution et de transformation n'a pas de début ni de fin.
Parce que transcender les intensités t'est accessible à chaque instant.
Pour un accompagnement 1:1, réserve une conversation puissante avec moi.
Et si tu ne l'as pas encore lu, mon livre Il va y avoir encore tellement de jours... est disponible pour toi.
